Le 20 octobre 2017, l’ARSATESE Loire-Bretagne a été invitée par l’Agence de l’Eau à participer à une réunion du Réseau d’échanges sur l’autosurveillance.

Celle-ci s’est déroulée en visioconférence sur 6 sites différents avec une présentation de supports le matin et un temps d’échanges l’après-midi.

8 de nos membres ont ainsi représenté notre association sur les différents points de rencontre (les 6 inscrits dans le tableau en fin de compte-rendu ainsi qu’Ahmed Hassini et Anne Delaunay du CD 35).

Je tiens à remercier l’Agence de l’Eau pour l’organisation de cette journée, qui par son format, a permis des échanges riches et nombreux.

Une expérience très intéressante qui demande à être reconduite.
Vous trouverez en pièce jointe le compte-rendu de cette réunion.

Il convient de préciser les propos qui me sont attribués en P.9 du compte-rendu concernant le contrôle des dispositifs (retours du site de Ploufragan).
Il est vrai que caler la méthode de contrôle du fonctionnement de ces équipements sur celle des stations de traitement risque de s’avérer trop lourde en moyens humains pour les SATESE. C’est pourquoi, j’ai proposé que ce contrôle périodique soit réalisé par l’exploitant dans le cadre de ses missions et que le SATESE, en qualité d’organisme indépendant et compétent, valide plus la procédure de calage de l’exploitant que le calage lui-même, en procédant par exemple à des échantillonnages de contrôles annuels du parc par exploitant.

La réponse post-réunion faite par l’Agence concernant le contrôle en externe à une fréquence n’excédant pas 5 ans pourrait ainsi rentrer dans ce cadre ?

Concernant la notion de coût excessif évoquée, elle peut s’appliquer dans le cadre de la réalisation de ce contrôle périodique par un organisme à l’échelle départementale en raison de son impact sur le dimensionnement de la structure à mettre en place.

Le président de l’ARSATESE Loire-Bretagne,

Christian BARBIER